Si j'étais je

 

 

 

Je serais chatouilleur de mots, caresseur de notes, bricoleur de sons.
Si j’étais je, je deviendrais MALKO MALKA et je ferais un album qui s’appellerait "Le Maître du Je". Je resterais jeune à jamais, car j’aurais une vision toujours décalée et teintée de poésie burlesque pour parler de notre monde moderne, je créerais un chemin de chansons pour comprendre qui je suis, au milieu des selfies et des amitiés virtuelles .
 

J’inventerais un voyage musical, un kaléidoscope, 
un portrait, qui par touches impressionnistes, révèlerait les multiples facettes d'un homme, 
entre ombre et lumière.
Je partirais dans des délires kitsch comme " Selfies " ou " the King of Kitsch", 
j’irais explorer les sonorités électro comme dans "Si j’étais Je", 
et je reviendrais à des moments plus intimistes d’un piano-voix dans « Un homme"," tu passes à l’acte", ou encore " les minots ".

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Avant MALKO MALKA, il y a eu l’Angleterre des années 80, 
dans les pubs et les studios d’enregistrement de l’Essex.
Le travail avec des musiciens comme Bret Kean, saxophoniste émérite (figure incontournable du jazz britannique mais qui a fait ses armes dans la pop notamment dans des séances avec bronsky bit) 
ou Wendy Roberts (Suzy Quatro, Mike Oldfield sur son album Platinum).

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Puis le retour dans l’hexagone pour poursuivre son aventure musicale comme pianiste avec Gil Aniorte (Barrio Chino, Radio Babel), Noël Ekwabi (bassiste de Papa Wemba, directeur artistique de Manu Dibango, Rokya Traoré), Phil Robert (Boogaloo Zoo) et produit de la Dance Music au Studio Marcadet, et Studio du Palais des Congrès à Paris avec son acolyte, toujours à ses côtés, Eric Kartalian.

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Aujourd’hui, je suis MALKO MALKA et mon univers devient réalité. Mes collaborations avec Laurent Metigane, Eric Kartalian ont contribué à la réalisation d’un projet musical abouti et chargé de sens. Hélène Arnaud met en scène ce voyage onirique, dans des saynètes agrémentées de décors éclairés par l’épatant Daniel Trumel (directeur de la photo à France télévision), mais aussi de quelques objets glanés de ci de là, de beaux costumes apprêtés par Martine Macé du théâtre de l’Etincelle à Avignon, de projections vidéos enrichies du magnifique travail du réalisateur Lasko et du photographe Frederic Bonnaud.

 

 

Pour la musique j’ai voulu renouer avec mes amis musiciens : Alain Rageot (nous jouions ensemble quand nous avions 15 ans !), Véronique Mavros, Veronique Battista, Alain Benazza, pour partager, dans une explosion de sons et d’images, une vision très personnelle, nourrie de mes expériences et de mes rencontres artistiques. 
Le Maître du Je, mon nouvel opus est à découvrir, à écouter, à danser, à vivre, 
à méditer…